GNU – Linux
Installer Varnish depuis les sources sur Fedora 11
Le post du jour va traiter de l’installation de varnish depuis les sources sur Fedora 11 de manière manuelle.
Varnish-cache est un serveur proxy qui va mettre en cache les pages demandées afin d’éviter au « moteur » de les recalculer systématiquement. Varnish-cache est un outil simple et puissant permettant un usage multiple, de la simple mise en cache à la répartition de charge comme on peut le lire ici : http://www.varnish-cache.org/docs/2.1/tutorial/advanced_backend_servers.html
Pour faire simple, vanish-cache reçoit les requêtes http sur un port que l’on défini dans son fichier de configuration, et rediriger la requête sur le (ou les) « backend » défini. On entend par « backend », le serveur qui fournit le contenu, typiquement apache, sur la même machine physique, ou encore sur un (ou plusieurs) autre(s) serveur(s).
Ce mode d’installation diffère légèrement de l’installation par paquets dans la mesure ou les fichiers de configuration ne sont pas positionnés au même endroit. (Généralement dans /usr/local/etc au lieu de /etc pour la config, et /usr/local/(bin|sbin) au lieu de /bin|/sbin).
On va donc dans notre dossier préféré pour compiler les programmes depuis la source, et on télécharge le programme en dernière version (2.1.5) au moment de ce post (Notez qu’il vaut mieux généralement passer par le dépot de votre distribution, ou une version packagée pour appliquer les mises à jour plus facilement), ici on vise l’aspect didactique, si vous maîtrisez le manuel, vous aurez gérer encore plus facilement les installations « packagées », car la seul différence se situe au niveau des chemins au final.
[bash]cd /usr/local/src
wget http://repo.varnish-cache.org/source/varnish-2.1.5.tar.gz
tar xvzf varnish-2.1.5.tar.gz[/bash]
On va commencer par installer les dépendances (voir ici http://www.varnish-cache.org/docs/2.1/installation/install.html#compiling-varnish-from-source):
[bash]yum install automake autoconf libtool ncurses-devel libxslt groff pcre-devel pkgconfig[/bash]
Varnish est maintenant décompressé, on va entrer dans le dossier de configurer, compiler, installer.
On va dans le dossier et on lance l’opération :
[bash]cd varnish-2.1.5
sh autogen.sh
sh configure
make[/bash]
Varnish est maintenant compilé et le binaire fonctionnel (en cas d’erreur, s’assurer que toutes les dépendances sont bien installées).
Comme indiqué dans la documentation vous pouvez maintenant effectuer un test du programme :
[bash](cd bin/varnishtest && ./varnishtest tests/*.vtc)[/bash]
La plupart des tests doivent renvoyer « passed ». Il se peut qu’une erreur ou deux se glisse, mais pas plus, et c’est sans gravité. Si la plupart des tests ne fonctionnent pas (failed) alors vous avez un problème et il faut revoir la procédure.
On peut maintenant installer :
[bash]make install[/bash]
On copie le fichier de configuration par défaut à la bonne place :
[bash]cp redhat/varnish.sysconfig /etc/sysconfig/varnish[/bash]
On va lier le dossier « etc/varnish » créé lors de l’installation avec le chemin par défaut :
[bash]ln -s /usr/local/etc/varnish /etc/varnish[/bash]
Il nous faut maintenant copier le script de démarrage de varnish à la bonne place, et corriger les chemins dans celui ci.
[bash]cp redhat/varnish.initrc /etc/rc.d/init.d/varnish[/bash]
Puis on édite ce fichier (/etc/rc.d/init.d/varnish) pour corriger les chemins vers les binaires comme suit :
/usr/sbin/varnishd devient /usr/local/sbin/varnishd
Voilà pour le script de lancement/arrêt de varnish, que l’on ajoute dans chkconfig (pour pouvoir le lancer automatiquement plus tard) :
[bash]chkconfig –add varnish[/bash]
Dans le fichier /etc/sysconfig/varnish on peut consulter les options par défaut qu’il faut adapter si vous le souhaitez. Dans mon cas, je souhaite positionner le cache dans un autre endroit, car je manque de place sur la racine.
Pour cela je vais donc changer la valeur de « VARNISH_STORAGE_FILE=/var/lib/varnish/varnish_storage.bin » pour le faire pointer vers un dossier de mon choix créé pour l’occasion. Libre à vous de faire cette modification selon votre configuration.
Il faudra aussi définir un utilisateur qui existe sur votre système (ou en créer un : adduser varnish), et adapter les « DAEMON_OPTS » à la ligne
[bash]-u varnish -g varnish[/bash]
avec l’utilisateur de votre choix.
Le dossier /usr/local/var/varnish devra appartenir à cet utilisateur et à son groupe (chown utilisateur:groupe /usr/local/var/varnish).
Il faut créer un mot de passe pour l’accès à l’interface d’administration :
[bash]echo "votre-password">/etc/varnish/secret[/bash]
On va maintenant créer une configuration de base pour tester la solution.
On ouvre le fichier /etc/varnish/default.vcl dont le contenu doit être totalement commenté par défaut, et on y ajoute ceci en bas du fichier :
[bash]backend default {
.host = "127.0.0.1";
.port = "80";
}[/bash]
Cette configuration va permettre de lancer un essai sans modifier la configuration de votre machine. On défini en gros que la source par défaut est votre serveur sur le port 80, soit le site affiché par défaut quand vous allez sur http://ip_serveur/.
On lance donc le processus :
[bash]/etc/rc.d/init.d/varnish start[/bash]
Vous pouvez maintenant consulter les statistiques et vérifier ainsi que ça tourne en tapant :
[bash]varnishstat[/bash]
(on quitte les stats en appuyant sur la touche « q »)
En fonction de la valeur que vous avez défini dans le fichier /etc/sysconfig/varnish pour la variable « VARNISH_LISTEN_PORT », vous pouvez consulter la page affichée par varnish à l’adresse :
http://votre_serveur:port (où port = la valeur choisie dans le fichier de configuration).
Si vous avez un firewall comme iptables, vous devrez ouvrir le port pour pouvoir consulter la page sur ce port.
Par exemple pour mon test sur le port 8080 :
[bash]iptables -A INPUT -p tcp –dport 8080 -j ACCEPT[/bash]
(ou éditer directement votre fichier /etc/sysconfig/iptables et relancer iptables pour prendre en compte la modif)
Si votre site s’affiche c’est gagné il est pris en compte par varnish sur ce port.
Note : Pour avoir des infos en cas de plantage, il faut lancer varnishd avec les options définies dans /etc/sysconfig/varnish et le parametre « -d », sans quoi varnish ne renvoie aucune information relative au plantage !
Enfin pour rendre le service varnish actif au démarrage nous activons le service avec chkconfig :
[bash]chkconfig –level 345 varnish on[/bash]
Pour la suite, comme la configuration avec par exemple wordpress je vous invite à lire cet excellent POST :
http://blog.nicolargo.com/2010/10/booster-votre-blog-wordpress-avec-varnish.html
ainsi que le wiki de varnish :
http://www.varnish-cache.org/trac/wiki
OU BIEN, la suite de l’opération en configurant varnish-cache avec la gestion des virtualhost :
http://blog.inforeseau.com/2011/05/configurer-varnish-cache-avec-virtualhosts-fedora-redhat-centos
Sources utilisées pour ce post :
http://www.varnish-cache.org
http://www.varnish-cache.org/trac/wiki/VarnishAndWordpress
http://blog.nicolargo.com/2010/10/booster-votre-blog-wordpress-avec-varnish.html
Replication mysql – Configuration maitre-esclave
Configuration de la réplication avec mysql, dans un modèle maître esclave.
Voilà un petit post qui va expliquer en suivant en gros la documentation de mysql (http://dev.mysql.com/doc/refman/5.0/fr/replication-howto.html), comment mettre en place la réplication, de manière pragmatique et fonctionnelle.
Comme toujours, avant toute opération, assurez vous d’avoir une copie de sauvegarde de l’ensemble des éléments modifiés avant d’appliquer quoi que ça soit, afin de pouvoir revenir en arrière en cas de soucis (fichiers de configuration, données etc.).
J’ai pour cette opération un serveur sous Fedora 8 (qui date mais qui fait le job) équipé de mysql-server 5.0.45 en production et standalone (qui travaille tout seul comme un grand) jusqu’ici; et, un serveur sous Fedora 13 (utilisé pour du stockage uniquement jusqu’ici) équipé de mysql-server 5.1.56 fraichement installé avec un petit :
[bash]yum install mysql-server
chkconfig –level 345 mysqld on[/bash]
L’idée étant de mettre en place la réplication du premier qui deviendra « master » (maître), sur le second, qui deviendra « slave » (esclave). A mon sens l’utilité de la réplication avec MySQL est principalement valable pour 2 points :
– Avoir une copie des données, lisible en production
– Répartir la charge sur plusieurs serveurs (un serveur exclusivement pour les requêtes en écriture – le maitre, un autre dédié aux requêtes en lecture – le ou les esclave(s)).
Attention cependant, la réplication MySQL ne dispense pas de mettre en place une stratégie de sauvegarde ! Car, par exemple, un effacement accidentel de données sur le maître entraîne la modification quasi immédiate sur les machines répliquées ! Dans une telle situation, seule une sauvegarde « traditionnelle » (façon mysql dump) vous permettra de récupérer vos données.
Un article évoquant plusieurs configurations et usages de la réplication MySQL est disponible sur cette page http://bertrand.letous.fr/replication-mysql/ qui évoque notamment la réplication RING (multi-master replication) permettant la réplication combinée à l’écriture sur les esclaves propageant la modification en chaine et ainsi permettant d’ajouter autant de serveurs que nécessaire pour absorber une montée en charge. Une documentation détaillée est disponible ici : http://onlamp.com/pub/a/onlamp/2006/04/20/advanced-mysql-replication.html
Revenons donc à nos moutons, avec pour objectif, basculer l’installation actuelle d’un simple serveur MySQL tout seul, en maître avec l’ajout d’un esclave répliqué.
=> Serveur maitre :
Sur le serveur maître, nous allons créer un compte utilisateur dédié à la réplication. Soit en passant par une interface d’administration style Webmin, soit en passant par la ligne de commande mysql (requête).
Je vais donc créer un utilisateur « replication » sur mon master, avec un mot de passe, et autoriser pour le host « ip_du_slave » (sur vpn pour mon cas) avec pour permission « Slave replication ».
Ce qui donne donc en commande SQL sur le maître :
[bash]mysql> GRANT REPLICATION SLAVE ON *.* TO replication@’ip_du_slave’ IDENTIFIED BY ‘<mot de passe>’;[/bash]
Si vous n’avez jamais utilisé la réplication, il y a des chances que votre serveur mysql n’ait pas de log binaire activé !
Afin de s’assurer de ceci, vous devez éditer votre fichier my.cnf (généralement dans /etc/my.cnf) et vous assurer qu’il contient dans la section « mysqld » les lignes suivantes :
[bash]log-bin
server-id=1[/bash]
La valeur de serveur-id doit être un entier positif entre 1 et 2^32 − 1, mais doit être unique pour chaque serveur (maitre ou esclave).
Si les valeurs ne sont pas présentes, ajoutez les, puis relancez votre serveur mysql.
On va vérifier que la modification est bien active en se connectant en local en root au serveur mysql :
[bash]mysql -u root -p[/bash]
Puis on contrôle qu’il y ait bien un log binaire (après avoir saisi votre mot de passe root mysql) :
[bash]show master status;
+———————+————+———————+————————–+
| File | Position | Binlog_Do_DB | Binlog_Ignore_DB |
+———————+————+———————+————————–+
| mysql-bin.000001 | 729 | | |
+———————+————+———————+————————–+
1 row in set (0.00 sec)
[/bash]
Nous avons maintenant un serveur MySQL avec un utilisateur qui détient les privilèges de réplication, et, un fichier de log binaire qui va contenir la chaine des transactions/modifications réalisées sur les bases.
Afin de lancer la réplication, nous allons devoir (1) verrouiller la base (READ LOCK), (2) noter le « status » du fichier binaire afin d’indiquer à l’esclave d’où il repart quand on le lancera (comme vu à l’instant), (3) arrêter mysql sans déverrouiller et faire un backup afin de pouvoir transférer les données en l’état sur l’esclave, (4) et relancer mysql et déverrouiller (unlock tables), DANS CET ORDRE PRÉCIS.
L’impact pour votre système actuel va être un blocage des écritures pendant que vous notez le « status » des transactions et réalisez le backup.
En avant donc :
(1)
On se connecte au serveur (maitre) en local et on bloque les transactions :
[bash]mysql -u root -p[/bash]
[bash]mysql> FLUSH TABLES WITH READ LOCK;[/bash]
ok, les transactions sont maintenant bloquées.
(2)
On affiche le « status » et on le copie pour pouvoir le lire plus tard (faites la copie de VOS infos afin d’en disposer plus loin) :
[bash]show master status;
+———————+————+———————+————————–+
| File | Position | Binlog_Do_DB | Binlog_Ignore_DB |
+———————+————+———————+————————–+
| mysql-bin.000001 | 729 | | |
+———————+————+———————+————————–+
1 row in set (0.00 sec)
[/bash]
(3)
On arrête mysql bloqué et on sauvegarde les fichiers de données (dans /var/lib/mysql chez moi):
[bash]mysqladmin -uroot -p shutdown
cd /var/lib
tar -cvzf mysql_full.tgz mysql[/bash]
Le backup est fait avec les données non modifiées depuis que l’on a noté le master « status ».
(4)
On va maintenant relancer mysql et débloquer les transactions :
[bash]/etc/rc.d/init.d/mysqld start
mysql -u root -p[/bash]
Puis on débloque :
[bash]mysql> UNLOCK TABLES;[/bash]
Nous avons maintenant nos bases dans un fichier de sauvegarde et l’état des transactions à ce moment là. C’est fini pour le serveur maître MySQL qui est opérationnel comme avant.
Vous devriez voir des informations relatives à l’activation de log-bin dans les logs de mysqld (ici /var/log/mysqld.log).
Note : Il faut autoriser l’accès au port 3306 depuis l’esclave dans votre firewall si vous en avez un actif sur le maître, sinon l’esclave ne pourra pas communiquer avec le maître et la réplication ne pourra s’effectuer.
################################################################
=> Serveur Esclave :
On arrête le serveur mysql (vierge jusqu’ici car tout fraîchement installé).
[bash]/etc/rc.d/init.d/mysqld stop[/bash]
Il faut configurer le serveur mysql en éditant le fichier /etc/my.cnf comme pour le maître en ajoutant le server-id dans la configuration (c’est le numéro unique du serveur, qui doit être différent du serveur maître) et les informations permettant la synchronisation :
[bash][mysqld]
server-id=2
master-host = ip_du_master
master-user = utilisateur_replication
master-password = mot_de_passe_replication
master-port = 3306
[/bash]
On va ensuite replacer les données sur l’esclave (attention aux droits sur les fichiers, généralement tout appartient à l’utilisateur « mysql »), ceci en copiant l’archive mysql_full.tgz créée sur le serveur maître, dans le serveur esclave.
Je me positionne dans /var/lib (qui contient le dossier mysql également), qui appartient à l’utilisateur mysql et je décompresse l’archive :
[bash]tar xvzf mysql_full.tgz[/bash]
Ceci va sauvagement écraser les fichiers en place au profit de la copie conforme du maître.
On peut maintenant relancer le serveur mysql :
[bash]/etc/rc.d/init.d/mysqld start[/bash]
Puis on active la synchronisation (qui va également rattraper les modifications depuis la reprise de l’activité du maître) :
Connection en root à mysql en local sur l’esclave :
[bash]mysql -u root -p[/bash]
On arrête le (service) slave :
[bash]mysql> STOP SLAVE;[/bash]
On applique les modifications :
[bash]mysql> CHANGE MASTER TO
-> MASTER_HOST='<master host name ou ip>’,
-> MASTER_USER='<replication user name>’,
-> MASTER_PASSWORD='<replication password>’,
-> MASTER_LOG_FILE='<recorded log file name>’,
-> MASTER_LOG_POS=<recorded log offset>;[/bash]
Note : ce sont les informations définies plus haut, saisie entre apostrophes, sauf pour la dernière valeur numérique saisie directement (et sans les < >).
On lance enfin le processus esclave qui démarre effectivement la synchronisation :
[bash]mysql> START SLAVE;[/bash]
Dans les log de /var/log/mysqld.log vous devriez voir quelque-chose du genre :
« Slave SQL thread initialized, starting replication in log ‘mysql-bin.000001’ at position xxx… etc. »
« Slave I/O thread: connected to master ‘replication@ip_du_maitre:3306’,replication started in log ‘mysql-bin.xxx…etc. »
Maintenant consultez les données dans les tables du serveur esclave, toutes les modifications apportées au maître doivent être automatiquement appliquées à l’esclave.
Vous pouvez aussi consulter l’état sur l’esclave par exemple en vous connectant au serveur :
[bash]mysql -u root -p[/bash]
Puis en tapant la commande suivante :
[bash]mysql> SHOW SLAVE STATUS\G;[/bash]
et celle ci pour voir l’etat des processus :
[bash]mysql> SHOW PROCESSLIST;[/bash]
Maintenant, si vous arrêtez le serveur mysql esclave, et que vous le relancez, il reprendra la synchronisation là où il s’est arrêté ! :D cool.
################################################################
=> En cas de plantage (perte des données sur une des machines) :
– Si le maitre plante :
On verrouille l’esclave (FLUSH TABLES WITH READ LOCK;), on « dump » (copie) les données de l’esclave sur le maître, et on relance la synchronisation après avoir relancé le maître.
-Si l’esclave plante :
On recommence la mise en place à partir des étapes 1,2,3,4 dans la section « maître » de ce post, sur le maître, comme ci on réalisait à nouveau cette mise en place.
=> Vous pouvez ajouter autant d’esclaves que vous le voulez, pour répliquer autant de fois que nécessaire l’infrastructure (et donc augmenter la puissance de l’ensemble en répartissant la charge sur plusieurs serveurs).
Autres ressources pertinentes :
http://www.system-linux.eu/index.php?post/2009/09/10/R%C3%A9plication-Mysql
http://km.azerttyu.net/Replication-Mysql-ou-comment.html
http://www.howtoforge.com/mysql_database_replication
Configurer le menu grub en interface graphique – startupmanager – ubuntu gnu linux
Juste une note pour ceux qui chercheraient à configurer simplement la configuration par défaut du boot de leur machine équipée d’ubuntu, comme par exemple, définir le système lancé par défaut, ou encore changer le délai d’attente avant le démarrage automatique du système avec GRUB.
Bien sûr on peut toujours éditer les fichiers de configuration à la main (généralement /boot/grub/grub.cfg), mais ça n’est pas le plus aisé pour les néophytes.
Ayant amené certains amis à basculer sous GNU/Linux, et plus particulièrement sous Ubuntu (je n’ai pas de réelle préférence sur telle ou telle distribution, c’est juste que c’est dans l’air du temps, j’ai personnellement une plus grande expérience sur redhat/fedora mais bon :) ), un question qui revient est « comment changer le système chargé par défaut au boot de la machine ? « .
Il existe pour ça un utilitaire en interface graphique facile et efficace, le « Gestionnaire d’amorçage StartUp-Manager » que vous pouvez installer en tapant ceci dans un terminal :
[bash]sudo apt-get install startupmanager[/bash]
Une fois installé, vous le retrouvez (sous Gnome) dans le menu « Système », puis « Administration », sous le nom « Gestionnaire d’amorçage StartUp-Manager ».
Cet outil vous permet simplement de modifier les options de boot (démarrage) de votre machine, c’est un outil simple et accessible à tous. Je vous recommande juste de ne pas modifier les paramètres relatifs à la résolution de l’écran. L’option par défaut permet une compatibilité maximale quelque soit la machine utilisée, un mauvais paramètre à ce niveau pourrait vous empêcher d’utiliser ou d’accéder correctement au menu de boot de votre machine.
Sur le deuxième onglet, il y a l’option qui permet de créer une disquette de démarrage, cela dit, même si c’est un outil indispensable pour relancer une machine dont le chargeur de démarrage est planté, peu de machines ont encore un lecteur de disquette aujourd’hui, et il restera plus facile de passer par un liveCD pour réparer votre chargeur GRUB que de booter par disquette.
En espérant que ce mémo soit utile aux utilisateurs qui cherchent à éditer les paramètres de boot de leur machine sous GNU/Linux Ubuntu avec une interface graphique.
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