GNU – Linux

Compression de fichiers sous linux en console gzip, bzip, zip et tar – ubuntu – fedora – mandriva

Icone archive tar gzSous les systèmes GNU-Linux, les outils permettant de créer des archives compressées sont généralement installés par défaut sur la plupart des distributions.

Dans cet article, je vous présente un simple mémo sur l’utilisation des outils de compression / décompression de fichiers sous GNU/Linux en ligne de commande. A lire en entier avant de tester par vous même !

Dans la plupart des cas, la transmission de fichiers se fait dans des formats compressés, particulièrement pour le téléchargement de programmes à compiler, souvent disponible en format .gz .tgz (ou .tar.gz, c’est équivalent) et parfois .bz2.

Les principaux programmes utilisés pour la gestion des archives sont les suivants :
tar (tape archive files) : Permet de créer un fichier archive qui va contenir l’ensemble des fichiers demandé, sans compression.
gzip : Permet de compresser les fichiers au format gzip (.gzip ou .gz)
gunzip : Permet de décompresser les fichiers de type .gzip ou .gz
bzip2 : Permet de compresser les fichiers au format .bz2 ou .bzip2
bunzip2 : Permet de décompresser les fichiers de type .bz2 ou .bzip2

Bien sûr cette liste n’est pas limitative, vous trouverez un grand nombre d’outils sous Linux pour compresser et décompresser comme 7zip, zip, unzip, rar, unrar dont les licences ne sont pas toujours libres, mais utilisables pour décompresser des fichiers dans les formats donnés au besoin sur votre système favoris.

Sous Linux, on va principalement utiliser « tar » pour créer l’archive de base, puis compresser celle-ci avec un outil au choix. L’atout principal de la commande « tar » est de maintenir les attributs complets des fichiers (équivalent des ACL sous Windows), permettant ainsi, lors de l’extraction, de retrouver une arborescence identique à l’originale, dans sur le contenu que les attributs (propriétaire, groupe, droits d’accès, de modification et d’exécution).

Utilisation de tar (pour les informations détaillées, utiliser la commande « man tar » en console) :
Pour l’exemple, nous partons du dossier /home, dans lequel nous avons un dossier « toto » avec quelques fichiers.

On va donc créer une archive du home de toto appelée « home_toto.tar », afin de la restaurer ultérieurement :
[bash]
cd /home
tar -cvf home_toto.tar toto/
[/bash]
Le fichier est créé, contenant le dossier toto, et tout ce qu’il contient.
Les options utilisées signifient :
-c Créer une nouvelle archive
-v Afficher le détail du traitement en court (mode verbeux)
-f Créer l’archive dans le fichier défini (par opposition à un périphérique lecteur de bande « tape »).

Nous avons maintenant un super backup (une copie de secours, car la commande tar ne supprime pas l’original) de notre dossier /home/toto. On peut donc effacer l’original pour le recréer depuis l’archive :
[bash]
rm -rf /home/toto
tar -xvf home_toto.tar
[/bash]
NOTE : Attention avec la commande rm -rf, on supprime tout le contenu sans confirmation, assurez vous bien de ce que vous tapez !
La commande rm -rf supprime complètement le dossier /home/toto, puis on le restaure depuis l’archive tar avec la commande tar.
NOTE2 : Ceci est un exemple, mais n’est pas l’action à mener pour effacer un compte utilisateur et son home d’un système linux, pour cela vous passerez plutôt par « deluser » ou « userdel ». Ici on ne parle que de créer une archive d’un dossier, supprimer le dossier original, et de le recréer depuis l’archive avec ses attributs originaux.

Vous savez maintenant créer une archive tar (non compressée) et la restaurer.

Passons maintenant à l’utilisation de la même commande, mais en utilisant l’outil de compression « gzip ».
Nous pourrions simplement utiliser la commande « gzip » pour compresser le tar précédemment créé comme ceci :
[bash]
gzip home_toto.tar
[/bash]
ce qui donnerait un fichier tout à fait convenable au format home_toto.tar.gz !

Évidemment, tar permet d’utiliser la compression en ligne, simplement en ajoutant l’option « -z » comme ceci :
[bash]
cd /home
tar -cvzf home_toto.tar.gz toto/
[/bash]

Notez le « z » en plus dans les paramètres, indiquant à tar qu’il doit « gzipper » l’archive en plus de créer le tar.
On la décompressera en suivante la même logique :

[bash]
tar -xvzf home_toto.tar.gz toto/
[/bash]

Tout simplement. Il en est de même pour l’utilisation de bzip2, mais au lieu de « -z », on va utiliser « -j », comme ceci :
[bash]
cd /home
tar -cvjf home_toto.tar.bz2 toto/
[/bash]

Puis on décompresse et extrait les données :

[bash]
cd /home
tar -xvjf home_toto.tar.bz2 toto/
[/bash]

Bien sûr vous allez me dire, mais pourquoi donc utiliser bzip2 plutôt que gzip, etc… c’est une question de performances et de besoins !
Bzip2 présente une compression bien plus forte que gzip, mais nécessitant de plus grosses ressources CPU ! Donc, plus on compresse, plus c’est long !

Dans le cadre de cette démonstration, on ne voit pas de différences, mais si vous commencez à travailler par exemple sur des dossiers « home » qui représentent des centaines de Go (Giga octets), la différence sera évidente.

Par exemple :
machine puissante, mais manque de place : j’utilise bzip2
machine puissante et plein de place, j’utilise gzip (on gagne du temps).
machine puissante et plein de place, mais je dois ensuite télécharger les données par internet, j’utilise bzip2 ! on va minimiser la taille des fichiers pour économiser de la bande passante.
etc.

Vous noterez cependant que pour les synchronisations de données au travers du réseau, on partira plutôt sur du rsync (incrémentiel/differentiel) qu’une archive tar. Encore une fois tout dépend du contexte (temps, performance, support, débit etc.).

Dans un tunnel vpn qui compresserait les données, on remettra en question le besoin de compresser les données avant transfert, dans la mesure ou ce travail est réalisé à chaud par le flux réseau :) mais dans ce cas, on sort de la problématique des archives, que permet la commande tar.

Dernier point, il s’agit ici d’une méthode utilisable en ligne de commande, par exemple sur un serveur à distance connecté en SSH2, ou encore dans une console en local. Bien évidemment, avec une interface graphique comme Gnome, tout ceci est accessible avec la souris, bouton droit sur un dossier puis on clique sur « compresser », on choisi l’extension dans la liste, on cliquer sur créer, et le programme fait le reste.
Notez que si certaines extensions ne sont pas disponibles dans le menu déroulant, c’est qu’il manque peut être simplement l’outil en ligne de commande. Pensez à vérifier que les différents outils évoqués dans ce billet sont bien tous installés sur votre système(apt-get install gzip bzip2 unzip rar unrar 7zip, pareil avec yum install gzip bzip2… etc), pour prendre en charge tous les formats d’archives compressées.

Loading

Tags: , , , , , , , , , , , , ,

mercredi, décembre 8th, 2010 Bash, GNU - Linux, Technologie Aucun commentaire

vim – editeur texte puissant en console sous linux ubuntu fedora debian etc.

Capture vim en editant du htmlPour ceux qui administrent des serveurs en SSH, vim est un éditeur connu, tout comme nano ou emacs.

Dans ce post je vous présente l’utilisation basique de vim, un éditeur très puissant.

Mais présentement, nous allons voir l’essentiel, ouvrir un fichier, rechercher un texte, modifier un caractère, insérer du texte etc.

Vim n’est pas toujours installé par défaut sur toutes les distributions. Vous devrez éventuellement l’installer.
Sous ubuntu en console (ou terminal):
[bash]sudo apt-get install vim[/bash]
Sous Fedora en root en console (ou terminal):
[bash]yum install vim[/bash]

Une fois installé, vous voilà prêt à éditer tout type de fichier, ou a en créer.
Voici une liste des commandes de base :
vim = lancer vim
vim nom_de_fichier = ouvrir le fichier nom_de_fichier avec vim
vim nom_de_fichier +134 = ouvrir le fichier nom_de_fichier avec vim à la ligne 134

Une fois lancé, vous pouvez de base vous déplacer dans le fichier avec les flèches du clavier, ou encore avec les touches « page up » et « page down ».

Pour éditer le texte vous devez passer en mode « édition », en tapant simplement sur la touche « i » (pour insertion). A partir de là, tout ce que vous tapez sera inséré.
Pour quitter le mode insertion, appuyez une fois sur « echap ».

Vous pouvez maintenant quitter en sauvant la modification en tapant sur la touche « echap », puis « : », puis « wq » et « entrée ».
La pression sur la touche « échap » vous place en mode « action » et vous permet de passer une commande. les actions sont :
i = mode insertion (ne nécessite pas de valider par « entrée »)
w = sauvegarder, ecrire le fichier
q = quitter
q! = quitter en abandonnant les modifications
w! = sauvegarder même si le fichier est verrouillé.
x = supprimer le caractère sous le curseur
dd = supprimer la ligne sous le curseur
G (shift + g) = aller a la fin du fichier
/chaine = rechercher dans le fichier la chaine « chaine »
n = chercher l’occurrence suivante de la chaine recherchée (ne nécessite pas de valider par « entrée »).

Voilà pour les commandes de base. Le plus souvent voila les commandes que je tape :
[code]vim mon_fichier.txt (entrée)
/machaine (entrée)
i (mode insertion)
Je tape ce que je veux ajouter
echap
:
wq (entrée)[/code]

Vim comporte des options plus évoluées qu’il serait difficile de décrire en intégralité, par exemple, on peut rechercher et remplacer une chaine automatiquement avec la commande suivante :
[code]:%s/foo/bar/g[/code]
Recherche toutes les occurrences de « foo » et la remplace par « bar ».

[code]:%s/foo/bar/gc[/code]
La même chose avec demande de confirmation avant chaque remplacement.

Plus d’informations ici : http://vim.wikia.com/wiki/Search_and_replace

C’est tout pour ce petit tour très basique sur l’utilisation de vim, mais sachez que vim peut fonctionner en client/serveur, supporte les expressions régulières (ou rationnelles) dans les commandes, supporte la coloration syntaxique de la plupart des langages connus etc.

Pour avoir une formation sous forme de tutoriel, il vous suffit de taper dans votre console :
[bash]vimtutor[/bash]

Avec un peu d’habitude, vim deviendra votre compagnon indispensable, et vous permettra de gérer la plupart de vos interventions sur des fichiers éditable en quelques secondes (fichiers de configuration, html, php, et tout autre script).

Loading

Tags: , , , , , , , , ,

vendredi, novembre 26th, 2010 Bash, GNU - Linux, Reseau, Technologie Aucun commentaire

Utilisation du fichier htaccess avec apache – authentification – rewriting etc.

Le fichier .htaccess permet l’utilisation de multiples options dans le cadre de la mise en place d’un site internet hébergé sur une plateforme apache / php.

Il est appelé « .htaccess » par convention, mais c’est une option modifiable dans le fichier httpd.conf de configuration apache comme ceci :

[code]AccessFileName .htaccess[/code]

Il permet, si la configuration du serveur l’autorise (voir plus bas), de passer des options au serveur apache, pour le dossier dans lequel il est positionné, et ses sous dossiers.

Le pré-requis est donc l’autorisation de l’utilisation du fichier .htaccess pour « surpasser » (override) les paramètres (configuration directives) du fichier httpd.conf ou encore du php.ini. Il n’est pas toujours possible de l’utiliser, car pour des raisons de sécurité la directive nécessaire n’est pas toujours présente. Si vous administrez votre serveur apache, et que votre site est hébergé par exemple dans /home/mon_site voici la directive à mettre en place dans le httpd.conf :

[bash]#Paramètres du dossier /home/mon_site
<Directory "/home/mon_site">

Options Indexes FollowSymLinks
AllowOverride All
Order allow,deny
Allow from all

</Directory>[/bash]

Comme on peut le constater, c’est une option par dossier (per directory) qui est définie pour un chemin donné (path) sur le serveur. La ligne qui nous intéresse ici est « AllowOverride All », autorisant l’usage de toutes les options dans le fichier .htaccess.

Les différentes possibilités sont :
[code]AllowOverride FileInfo AuthConfig Limit Indexes Options All[/code]

Plus d’infos sur les options en question : http://httpd.apache.org/docs/1.3/mod/core.html#allowoverride

Une fois les options définies dans le fichier de configuration httpd.conf, il convient de relancer votre serveur apache.

On peut maintenant placer un fichier .htaccess dans un dossier du site pour activer ou désactiver des options php par exemple :
Activer les magic_quotes, l’option register_globals (attention à la sécurité avec ça!) et le fait de ne pas afficher les erreurs :
[bash]
php_flag magic_quotes_gpc 1
php_flag register_globals 1
php_flag display_errors off
[/bash]

Évidemment, les options possibles sont 1 (actif) ou 0 (inactif), ou On (actif) et Off (inactif).

On peut également définir le jeu de caractères par défaut (UTF8, Latin1 etc) :
[bash]AddDefaultCharset latin1[/bash]

Vous trouverez plus d’options relatives aux directives .htaccess ici : http://guide.ovh.com/HtaccessAutre

Exemple pour personnaliser la page d’erreur 404 de votre site grâce au fichier .htaccess :
[code]ErrorDocument 404 http://www.domaine.com/404.php[/code]

Chez certains hébergeurs, sur des offres mutualisées, comme chez OVH, le fichier .htaccess peut être utilisé pour définir la version de php à utiliser avec le site.
Par exemple pour utiliser PHP5 sur un mutualisé OVH il faut placer la directive suivante dans le fichier .htaccess :
[code]SetEnv PHP_VER 5[/code]
Plus d’informations ici : http://guide.ovh.com/ConfigPhp

Le fichier .htaccess permet également de protéger un répertoire (ou l’ensemble) de votre site via une authentification http.
Tout est clairement expliqué sur le guide OVH ici : http://guide.ovh.com/HtaccessProtection

Ce qui n’est pas abordé dans le guide, c’est la possibilité de baser l’authentification sur MySQL, en cherchant les comptes utilisateurs dans une table spécifique (pour ceci vous devez disposer du module mod_auth_mysql d’apache) dans votre fichier .htaccess :
[code]
AuthName "Veuillez saisir vos identifiants"
AuthType Basic
require valid-user
#Satisfy Any
AuthMySQLAuthoritative On
AuthMySQLEnable On
#AuthMySQLHost localhost
AuthMySQLHost ip_du_serveur_mysql
AuthMySQLPort 3306
AuthMySQLUser login_mysql
AuthMySQLPassword mot_de_pass_mysql
AuthMySQLDB nom_de_base_de_donnee
AuthMySQLUserTable table_contenant_les_identifiants
AuthMySQLNameField champs_login
AuthMySQLPasswordField champs_mot_de_passe
AuthMySQLPwEncryption none
#AuthMySQLPwEncryption none | crypt | scrambled | md5 | aes | sha1
[/code]
Comme vous pouvez le constater, on doit spécifier le type de cryptage utilisé pour le mot de passe mysql.

Enfin, le fichier .htaccess permet l’exploitation du module « ModRewrite » permettant le célèbre « URL rewriting ».
Encore une fois, une documentation est disponible ici : http://guide.ovh.com/HtaccessModRewrite

Une petit exemple de fichier .htaccess avec url rewriting :
[code]
#Activation du rewriting
RewriteEngine on
#Transforme toute demande de page photo-XXx.html en index.php?action=affichephoto&photo=XXx
RewriteRule ^photo-(.+)\.html$ index.php?action=affichephoto&photo=$1 [L]
#Permet de faire passer le sitemap.php pour un fichier sitemap.xml (et donc d’avoir un sitemap.xml généré à la volée)
RewriteRule ^sitemap.xml$ sitemap.php [L]
[/code]

Les règles utilisées pour l’url rewriting sont basées sur les expression régulières (ou expression rationnelles), permettant de définir des modèles à rechercher et à remplacer par la chaine définie.

Plus d’informations sur le htaccess en général, c’est par ici : http://guide.ovh.com/ToutSurHtaccess

Loading

Tags: , , , , ,

jeudi, novembre 18th, 2010 GNU - Linux, Reseau, Technologie Aucun commentaire
Not f'd — you won't find me on Facebook
novembre 2024
L M M J V S D
 123
45678910
11121314151617
18192021222324
252627282930  
 

 
Suivez moi sur twitter - follow me on twitter
 
Follow on LinkedIn
[FSF Associate Member]
 
Free Software, Free Society
VIRTUALISATION :
Compacter une image virtualbox VDI
Bon petit tutoriel esxi
Marche d'appliances vmware
Installer ESXi sur un disque IDE
Installer ESXi 3.5 sur un disque USB
Installer proxmox avec DRBD et migration / réplication à chaud
Installer OSSEC avec VMware
Information sur le VDI
SECURITE - FIREWALL :
Ouvrir des ports dynamiquement iptables - knockd
Autre tres bon tuto knockd
Docs Arp poisoning - Anglais
Metasploit test de pénétration
Zone H - sites piratés en temps réel
Blog invisible things
Tips protection sécurité wordpress
Pfsense - distribution firewall opensource - adsl internet failover
Iproute 2 mini how to - linux advanced routing
ClearOS - la passerelle sécuritaire lan - wan
HAUTE DISPONIBILITE :
CDN - Accélération de la distribution de données
drbd iscsi ocfs2 dm multipath tutoriel
Load balancing LVS
Load balancing opensource list
HA-Proxy :
HAproxy - http load balancer
Simple tutoriel HAproxy
HAproxy - debian tutoriel
Centos - Ip failover
Configuratoin DM-Multipath Redhat
VMware Doubletake - continuité
Quelques liens sur la réplication MySQL : Manuel MySQL, chapitre sur la réplication
Manuel MySQL, Tutoriel clair sur la mise en place
Autre tuto sur la mise en place de la réplication MySQL
Références pour optimisation du serveur MySQL
Utilisation de EXPLAIN mysql pour optimiser vos bases
optimiser vos bases - requetes et index
STOCKAGE RESEAU :
Un outil de clonage disque en reseau
Internet NAS 250Go 250 accès VPN
Server ISCSI avec Ubuntu tuto
ISCSI centos redhat tutoriel
Gérer et étendre un LVM
Créer sa piratebox ! trop cool
Deaddrops, les clés USB dans les murs, aussi cool !
OPTIMISATION WORDPRESS :
Télécharger Xenu
Comment utiliser Xenu
optimisation hébergement wordpress
Super howto wordpress (En)
Test de charge serveur web - Load impact
VPN - ROUTEUR - LAN:
Zeroshell - le mini-routeur wifi tout en un
Retroshare, votre réseau d'échange crypté!
Openvpn sur centos redhat
Intégrer Linux dans active directory
Routage inter-vlan avec Linux
Routage avec OSPF
Network Weathermap
TENDANCES - WEB:
Boutons twitter
Analyser les tendances des recherches Google
Protocole sitemap - robots.txt
Creer des animations CSS3
Code php pour interagir avec twitter
E reputation
Jquery
TRUCS ET ASTUCES GNU/LINUX :
Tuxmachines.org - Actus et tips linux
Configurer GRUB2 et grub2 ici
Panoet - en anglais - tips & tricks
Readylines tips and trick pertinents
Squid Clamav - proxy antivirus
Apprendre Unix en 10 minutes
13 tips sur les expressions régulières
IE Sous linux IES
LDAP 2.4 Quickstart guide
Tutoriel LDAP
Installation annuaire LDAP
Serveur Mail Postfix - Dovecot - LDAP - MDS
Créer un linux personnalisé en ligne - custom linux
Super site sur linux - en
Capistrano - déploiement automatisé
MONITORING :
Nagios tutoriel et doc
Nagios plugin NRPE tuto
Nagios plugin NRPE autre tuto
Nagios plugin NRPE officiel
Zabbix - fonctionnalités
Zabbix - installation
Guide MRTGsys - grapher la charge locale
MRTGsys - ajouter des graphs
MRTGsys - interpréter les données
Shinken - Monitoring
Thruk Monitoring webinterface
Shinken - Tutoriel
Shinken - Référence chez Nicolargo
AUTRES LIENS :
RemixJobs IT jobs
USB Multiboot
Reset mot de passe windows
Java python et autres tips, intéressant !
Forum inforeseau
Open Clipart
Excellent comic en ligne
Inforeseau.fr